Le premier goodies est apparu en Angleterre au 18e siècle quand un manufacturier de cigares a eu l’idée de proposer des bagues personnalisées pour ses cigares, dans le but d’augmenter ses ventes. L’industrialisation du 19e siècle a été propice au développement des objets publicitaires devenus un levier stratégique pour les entreprises d’aujourd’hui.
Les avantages des goodies pour le marketing
Très prisés par les sociétés, les objets publicitaires font partie d’un stratagème marketing bien rodé. Ces objets sont des outils très efficaces pour accroître leur notoriété auprès du public. Certains professionnels, comme le site d’objets pub de Giffits, proposent un panel vaste et varié de produits promotionnels.
Parmi les objets promotionnels les plus vendus par les sociétés de ventes spécialisées, le t-shirt est le numéro un des ventes. En seconde place, ce sont les instruments d’écriture et en troisième position, ce sont les produits high-tech.
Dans un contexte d’hyper exposition publicitaire, se faire une place parmi les grands est un défi quotidien pour les entrepreneurs. Toujours en quête de nouveaux clients pour accroître leur chiffre d’affaires, les entreprises doivent trouver des solutions pour entretenir l’attirance de leurs produits ou services.
Un système de communication durable
Contrairement aux spots publicitaires à la télévision ou à la radio, les goodies sont une solution de marketing économique et durable permettant d’ancrer la société dans le temps. De plus, offrir des goodies à ses employés permet d’intégrer l’image de marque dans leur quotidien. Ainsi, jusqu’au terme de son utilisation, l’objet publicitaire touchera toutes les personnes proches de l’utilisateur.
Il est cependant très difficile de calculer un retour sur investissement pour les goodies. Il ne faut pas uniquement se focaliser sur les chiffres, mais sur les retombées en termes d’opportunités. Il existe des métriques clés pour évaluer le meilleur coût d’impression pour un objet publicitaire :
- La portée : pour la visibilité de la marque ;
- Le rappel : pour le souvenir ;
- La résonance : pour le changement d’attitude du consommateur ;
- La réaction : pour le changement du comportement d’achat ;
- L’impact : pour la comparaison entre différents canaux de communication.
Les prospects au cœur de la stratégie
D’après une étude réalisée par la Fédération Française des Professionnels de la Communication par l’Objet (2FPCO), 67 % des consommateurs conservent, sur une période d’environ six mois, les goodies s’ils sont utiles au quotidien. Lorsqu’un goodies est apprécié, 69 % vont avoir une bonne opinion de la marque, tandis que 11 % auront envie de passer à l’acte d’achat.
Toutefois, la sélection de l’objet publicitaire est primordiale. S’il ne plaît pas, les utilisateurs pourront avoir une mauvaise image de la société. Quand on sait que 75 % des Français mémorisent une marque associée à un goodies, il vaut mieux faire le bon choix.
Les tendances actuelles en matière d’objets promotionnels
Les entreprises peuvent personnaliser, à leur guise, un objet publicitaire. Pour mettre en avant un logo, un slogan, une image ou un texte, le choix de personnalisation est vaste. Le choix des goodies doit être en accord avec l’axe et la stratégie marketing de l’entreprise.
Les tendances actuelles sont plutôt basées sur des produits high-tech et éco-responsables pour du marketing plus vert. L’objet publicitaire de 2021 doit répondre à plusieurs critères : l’utilité et la durabilité, l’écologie et la modernité.
Voici une liste de goodies éco-responsables et high-tech phares du moment :
- La gourde et le mug réutilisables pour supprimer les bouteilles et les gobelets en plastique ;
- Le crayon à planter contenant des graines à faire germer ;
- Le t-shirt en coton bio permet d’affirmer les positions de la marque vis-à-vis de l’environnement ;
- Le masque de protection lavable favorise la protection des prospects ;
- La mini-enceinte en bois, un objet très utilisé les étés aux abords des plages ;
- Le chargeur à induction en bambou, un objet utile tant pour son minimalisme que pour sa fonction première.